Par Jean-François Boulanger, professeur agrégé d’histoire, Doyen honoraire de l’UFR de Lettres et Sciences humaines de l’Université de Reims
De Sarah Bernhardt à Megan Rapinoe, la place des femmes dans le sport et la culture : un chemin en creux dans l’histoire de la virilité, jalonné de nombreux obstacles.
Aujourd’hui, des femmes peuvent arpenter sans complexe et sans contestation ouverte la pelouse du Stade Delaune, à quelques centaines de mètres de La Comédie, lieu emblématique d’un art, le théâtre, où les femmes se sont faites leur place depuis déjà un certain temps. Le chemin est long de Sarah Bernhardt à Megan Rapinoe. C’est une sorte de chemin creux qui s’inscrit en creux dans l’histoire de la virilité. Il a été jalonné de nombreux obstacles et souvent d’un brin de condescendance. Théâtre et histoire s’efforce de le retracer en mettant l’accent sur des exemples locaux.
Jean-François Boulanger, professeur agrégé d’histoire, Doyen honoraire de l’UFR de Lettres et Sciences humaines de l’Université de Reims